Foire aux questions

Faux. Avec plus de 600 élèves, des clubs, des projets culturels (sorties, voyages) et des résultats académiques solides, la vie y est riche et variée.

Du collège au lycée, une rencontre parents-professeurs est programmée deux fois par an. Vous y aurez la possibilité d’échanger avec tous les enseignants de votre enfant.

Non. Ici, on accueille des élèves de tous niveaux : très bons, moyens, en difficulté, parfois porteurs de handicaps. L’objectif est d’accompagner chacun au mieux, pour qu’il progresse et s’épanouisse à son rythme.

Faux. Les parents apprécient le cadre exigeant qui aide leurs enfants à avancer — ce qui, il faut l’avouer, peut parfois sembler une punition pour les élèves ! Mais si c’était réellement une sanction insupportable, comment expliquer que chaque année, plusieurs anciens élèves inscrivent à leur tour leurs propres enfants ici ?

Oui. L’établissement valorise aussi les talents sportifs, artistiques, manuels ou humains, notamment grâce aux clubs. La réussite ne se limite pas aux notes, et nous nous efforçons d’orienter les élèves vers la voie qui leur correspond.

Peut-être parce que l’établissement est parfois jalousé. La rivalité entre écoles existe, et certains peuvent envier les infrastructures ou la réussite académique. Cela peut encourager la propagation de rumeurs exagérées ou inventées. Parfois aussi, des personnes colportent des informations sans vérifier leur exactitude, sans réaliser le tort qu’elles causent.

Pas du tout ! Chaque élève est accueilli avec ses richesses, ses différences. L’encadrement personnalisé permet de s’épanouir dans un climat de respect.

Les enseignants sont exigeants, mais à l’écoute. Beaucoup d’élèves apprécient la proximité et le suivi qu’ils ne trouvent pas toujours ailleurs.

Saint-Antoine a longtemps eu la réputation d’être une école très stricte. Mais les règlements ont évolué : aujourd’hui, le cadre est adapté à l’âge des élèves. Les plus jeunes ont besoin d’être davantage encadrés, tandis que les lycéens bénéficient de plus de libertés et d’autonomie. Le but reste le même : sécuriser et responsabiliser. Ce cadre est souvent plus apprécié par les parents que par les élèves… mais avec le recul, beaucoup d’anciens élèves nous remercient de les avoir gardés sur le droit chemin.

Faux. Tous les élèves sont présentés. Les bons résultats ne sont pas le fruit d’une sélection, mais du travail régulier et du soutien apporté à chacun.

Ils parlent d’eux-mêmes : 100 % de réussite au bac et 98,84 % au brevet en 2024, avec 624 élèves scolarisés. Cela prouve que l’on peut réussir tout en respectant le rythme de chacun.

Non. L’inscription repose sur un entretien, un échange, mais pas sur une sélection éliminatoire par concours. L’objectif est d’évaluer la motivation et l’envie de progresser.

Les frais restent accessibles comparés à beaucoup d’établissements privés. L’école cherche avant tout à rendre le projet éducatif ouvert au plus grand nombre. Mais il est vrai que l’inscription à l’internat est nécessairement plus onéreuse.

Faux ! La vie scolaire est rythmée par de nombreuses activités : sport, musique, cinéma, Rubik’s Cube, développement durable, journalisme… L’établissement encourage aussi bien la réussite académique que l’épanouissement personnel.

Quelques élèves ont du mal à s’y faire au départ, mais beaucoup apprécient d’être guidés, soutenus et encadrés. Pour certains, l’internat devient même une véritable “famille”.

Oui. L’établissement a à cœur d’entretenir une ambiance familiale et l’internat favorise la solidarité, l’amitié et l’entraide. Beaucoup d’élèves disent avoir trouvé ici “leur deuxième maison”. Comme dans toute famille, il y a parfois des chamailleries… On apprend alors à pardonner et se réconcilier.

Oui, c’est vrai ! Mais ce n’est pas une punition : c’est un investissement. Le travail régulier permet d’acquérir rigueur et discipline, des atouts essentiels pour réussir… surtout dans les études supérieures.

Non ! Les messes ont lieu seulement 3 à 4 fois par an, et toujours sur la base du volontariat. Beaucoup participent avec plaisir, mais personne n’est obligé. Et à la cantine, chacun fait comme il veut : bénédicité ou “attaque directe” des pâtes bolo, aucun élève n’a jamais été sanctionné pour l’un… ou l’autre !